Lindorië - L'étoile à la lumière bleue [TERMINEE]

Lindorië

« Craint de tous ne veux pas dire qu'il faut asservir tout le monde. »

(feat. Célébrité)

NOMINATION : Lindorië - l'Etoile Bleue RACE : Dragon SEXE : Femelle LIEU DE NAISSANCE : LOTHLÓRIEN DATE DE NAISSANCE : 2 925 3A soit 88 printemps pour cette masse d'écailles bleues FAMILLE : Sa famille est totalement inconnue, aussi bien pour elle que pour les autres. Elle a été élevée par des elfes, aussi étrange que cela paraisse. Mais c'est à voir dans son histoire. APPARTENANCE ACTUELLE : Lindorië se considère comme libre, bien qu'elle montre très clairement son penchant pour le côté des hommes et des elfes. Qui sait, quelqu'un parviendra peut-être à enrôler cette force de la nature ? RANG : Aucun

VOICI MON HISTOIRE ...

Des bruits de pas, une langue inconnue en ces lieux... La tranquillité apparente des bois de la Lorien est troublée par des intrus dont nul n'aurait voulu la présence en ces terres. Les pas s'accélèrent en même temps que les créatures se mettent à courir, voulant se faire furtive mais aisément repérable pour quelqu'un qui connait ces lieux. L'une d'elle porte une besace de cuir brun, étrangement lourde. Son contenu est un mystère pour les gens extérieur mais est d'une importance capitale. Il doit à tout prix être rapporté au Grand Œil, être porté loin des hommes et autres elfes. Manque de chance, les deux Orcs qui apparaissent dans un espace un peu moins boisé se font vite repérer par les éclaireurs qui montent la garde. Un sifflement, deux flèches et tout est réglé. Alors que les créatures indésirables s'écroulent au sol, l'une des sentinelles s'approche, remarquant l'étrange sac porté par l'une d'elle. Nul ne le niera, la curiosité est un vilain défaut qui touche toute créature en cette terre, et sa morsure est plus que redoutable. Il tend la main, défait le lien qui l'empêche de voir le contenu du sac et l'ouvre. Une pierre... Une unique pierre bleue, aussi grosse qu'une jeune chiot, c'est tout ce que contient cet étrange besace. Qui aurait pu croire, que de cette pierre apparemment dénuée de toute magie, naîtrait l'une des expériences les plus dangereuses auxquels les elfes se sont tentés ?
Nous sommes donc rendu là, avec cette pierre de provenance inconnue et cet elfe qui l'admire comme s'il s'agissait d'une grande merveille. Malgré tout ce que ces derniers peuvent dire, ils ne sont pas insensibles à la beauté lorsqu'ils la voit, et cette pierre était ce qu'on pouvait juger des plus attrayante. Son éclat saphir parvint à séduire l'elfe, l'empoisonnant presque immédiatement, si bien qu'il s'empara de la besace et l'emmena avec lui, la cachant à son partenaire. Cachant sa précieuse trouvaille aux yeux des autres. Cet elfe, d'aucun le nommait Eressëa, le solitaire, connu parmi les siens pour son caractère froid et distant et son intuition d'ordinaire plus affûtée. Il n'était pas rare que ses trouvailles habituelles se révèlent intéressante... tout comme allait l'être celle-ci de toutes manières.
C'est Eressëa donc, qui, une fois son tour de garde terminé, rapporta la pierre à Caras Galadhon, la cité, que dis-je, capitale elfique. Mauvaise ou bonne idée, nul ne le savait encore, car personne ne connaissait la nature de cette pierre étrange rapportée par le guerrier. La journée se passa dans le silence pour ce dernier. Il mangea seul, observa les autres de loin, et rentra chez lui sans mot dire. Il s'autorisa alors, après avoir vérifié que personne ne le voyait, à sortir sa pierre pour l'examiner plus attentivement. L'éclat bleuté de la pierre n'avait rien perdu de sa splendeur, mais il remarqua qu'il était parcouru de nombreuses nervures blanches, semblable à des veines et augmentant son attrait. En passant la main dessus, il put constater qu'elle était parfaitement lisse, sans aucune impureté apparente. Poussant les recherche plus loin, l'elfe sortit d'un tiroir une pièce de métal et dû fouiller un moment avant de trouver un maillet. Il hésita un moment mais abattit tout de même la main sur la pièce de métal. La réaction qui se produisit était plus qu'encourageante : la pierre était si dure, que la pique s'était tordue sur sa surface. Un sourire se dessina sur le visage d'Eressëa.

Le lendemain, alors que tous étaient rassemblés pour fêter une chose qui échappait au guerrier, tous prirent connaissance de l'existence de la pierre, d'une manière des plus... étranges. S'il y avait une chose que tout le monde connaissait en dehors de sa solitude, c'était qu'Eressëa avant tendance à se vanter. Et, ce soir là, il n'avait pu s'empêcher d'apporter avec lui sa fabuleuse trouvaille pour en faire profiter le plus grand nombre... Il prit un peu de hauteur, montant sur une pierre et levant le bras pour montrer sa fierté.

« Levez les yeux ! Regardez tous ce que j'ai trouvé ! Il s'agit là d'un matériau plus solide que l'acier que nous forgeons. Aussi résistant que le diamant. Et quel éclat ! »

Les yeux étaient braqués sur lui (ou plutôt sur sa pierre), et il aimait ça. Quelqu'un l'arrêta cependant, lui attrapant le bras pour examiner la trouvaille dont il était apparemment si fier. Un grand elfe blond, connu, lui, pour sa longue existence. Son regard océan se pose sur notre guerrier, avec une appréhension non feinte, sans se départir de son attitude calme. Il s'avance vers l'assemblée, force Eressëa à se reculer.

« Oui ! Levez donc les yeux ! Regardez donc ce qu'Eressëa nous a apporté aujourd'hui ! Ce n'est pas un matériau que tu as trouvé, pas une ressource fiable. C'est un démon que tu as apporté sur nos terres, guerrier. Car, ce que tu nous présente avec tant d'ardeur, est bien loin d'être une pierre. C'est un œuf : un œuf de dragon. Ramène cette horreur là où tu l'a trouvée, à défaut de pouvoir la détruire. »

Le guerrier recule d'un pas, semble tomber des nues. Pendant un moment, son regard s'attarde sur ce qu'il pensait jusque là être une pierre. Un œuf de dragon... Ces créatures cracheuses de feu, sources de tant de malheur. Le problème étant qu'il ne peut la ramener à l'endroit où il la ramassée, sans risquer qu'elle n'évolue sur les terres elfique après son éclosion. Le cerveau de notre elfe tourne à plein régime, cherche une solution à ce problème de taille.

« Et si on essayait de l'élever ? Elle ne se retournerait alors pas contre nous. »

Un tumulte monte de l'assemblée qui s'est formée aux pieds du Solitaire. Des murmures réprobateurs parviennent à ses oreilles, l'amène à douter des mots qu'il vient de prononcer. Il attend le verdict avec une anxiété nouvelle, à laquelle il n'est pas habitué... Que va-t-il advenir s'il ne trouve pas quoi répondre par la suite ? Il tient sa trouvaille sous le bras, légèrement penché sur elle, comme dans une mimique protectrice.

C'est une nouvelle qui a chamboulé le peuple des elfes : Un œuf de dragon sur leurs terres, alors que l'espèce même était censée s'être éteinte ! Bonne ou mauvaise idée que de le garder, de toutes façons il faudra faire un choix, et rapidement. Nul ne sait depuis combien de temps l'œuf existe ni quand il va éclore, et il faudra alors être préparé.
Autant le dire, sans Dame Galadriel, l'avenir de ce rescapé était tout tracé : il aurait été détruit afin d'éviter tout danger. Son haut grade et son avis favorable quant à l'idée de faire d'un dragon un allié est bien ce qui a sauvé notre pauvre pierre : elle a convaincu Celeborn de donner un avis favorable, malgré ses doutes, Elrond n'osa pas s'opposer plus que nécessaire à elle, et Cirdan ne se déplaça même pas, se contentant d'envoyer un messager pour faire part de son avis contre. Quant à Thranduil... Thranduil ne fut pas mis au courant de la présence de cet œuf en Lorien, ni même de son existence. Reste les Istari, ces grands magiciens : deux pour contre un à l'avis fermement contre, Sarouman contre Radagast et Gandalf.
Il fut donc décidé que notre pierre bleue resterait en vie, les arguments étant qu'un dragon dans son camp était toujours un bon allié et que l'on trouverait sans doute un moyen afin d'en retirer la magie qui la corrompait.

Une dizaine d'années a passé depuis la découverte d'Eressëa, depuis cette nuit terrible où il a été confronté au doute. Le contenu de la pierre a éclos, brisant sa magnifique coquille et réduisant la fierté d'un moment à néant. C'est sur un nouvel objectif que le guerrier reprend : former ce dragon pour en faire un allié plutôt qu'un ennemi. Dragon qui, d'ailleurs, est aussi beau que l'enveloppe qui le protégeait. Des yeux saphir, des écailles plus résistantes que le diamant à l'éclat magnifique... Il ne crache pas encore de feu, mais ce n'est qu'une question de temps. Après tout, n'est-ce pas encore un dragonneau ?
Ce dernier jette son regard fendu sur le monde qui l'entoure, mordille des piles de vêtements, pose ses yeux interrogateur sur toute chose qu'il considère comme étrange ou nouvelle (les deux n'étant pas incompatible). Le doute qui s'était installée devant l'idée de l'éduquer semble s'évaporer peu à peu devant l'attitude du jeunot, laisse place à la compassion, certains s'osant même à jouer avec lui durant quelques minutes. C'est Eressëa qui est chargé de le dresser et, pendant les premiers temps, il ne sait pas où donner de la tête, chercher partout son protégé, qui ne rate pas une occasion de s'enfuir. Il tente de le dresser comme un chiens mais, à chaque nouvelle tentative, la créature se braque, montre les crocs et part en courant, ralenti par ses grandes ailes qui traînent sur le sol et qui sont plus un fardeau qu'autre chose. Très vite, le guerrier se rend compte de son erreur. Le déclic ? L'animal parle... Et ce dernier semble apprendre assez vite, s'habituant très rapidement au langage elfique et finissant par le maîtriser pour faire comprendre ce qu'il veut. Il ne s'arrête pas aux rudiments, demandant un jour, à contre-cœur, à Eressëa de le lui enseigner. Par la même occasion, on se rend compte que ce que l'on prenait pour un mâle se révèle être une femelle. Les elfes commencent à le traiter comme un des leurs, lui parlant comme à un homme plutôt que comme à un enfant, face à l'intelligence apparente dont il fait preuve.
Une vingtaine d'année s'est à présent écoulé. La dragonne, que l'on a nommé Lindorië en l'honneur de ses écailles, se voit enseigner les rudiments du combat, apprend en même temps à voler. Elle n'a que vingt-cinq ans diraient certains, d'autre diraient déjà. Parmi les elfes, des murmures commencent à apparaître alors que la bête grandit, devenant plus impressionnante, plus dangereuse aussi, et qu'elle commence à savoir se servir de ses ailes. Est-il bon d'enseigner la guerre à un tel spécimen ? Non pas que, dans la ville, on ne l'apprécie pas, mais des appréhensions se forment : et si elle se retournait contre ce qui était censé être son clan ? N'était-ce pas là la nature première des dragons ? N'ont-ils pas été créés pour détruire ? Les elfes ne pourraient pas grand chose contre elle et se verraient rapidement surpassés. Les craintes sont augmentée par les flammes incontrôlées qui sortent à présent des naseaux de leur protégée. Cette dernière ne met heureusement pas longtemps à faire taire ces murmures, de part son attitude calme et, apparemment, diplomate. Il est inconcevable pour elle de faire le moindre mal à ceux qui l'ont élevée, exception qu'elle est dans sa propre race. Exception qui n'est d'ailleurs pas la seule : pas d'accent sifflant, feu d'une couleur légèrement bleuté plutôt que rouge...
Vient un jour où Lindorië commence à se sentir à l'étroit dans cette ville (qu'elle ne voit plus d'ailleurs depuis qu'elle est devenue trop grosse pour fouler son sol sans dégâts)., à se sentir prisonnière de cette forêt. Elle est autonome, crache son feu, sait se battre, sait manier quelques langues et sait voler. Pourquoi ne pourrait-elle pas voir plus loin ? Passive, comme à son habitude, bien qu'une certaine tristesse voile son regard fendu, elle réunit le clan, qu'elle peut avouer considérer comme sa famille, à défaut d'avoir connu la sienne. Parlant pour ce qu'elle considère comme la dernière fois, elle s'exprime dans un elfique clair afin d'être comprise et entendue de tous.

« Mes amis ! J'ai une bien triste nouvelle à vous annoncer. Dès ce soir, je pars. Je pars car je ne peux rester plus longtemps sans étouffer, sans me sentir comme prise en cage dans ce monde que j'aimerais considérer comme le mien, mais que je me sais interdit de par ma nature. Si vous avez, un jour, besoin de mon aide, ne venez pas me chercher. Ne venez pas me chercher car c'est moi qui vous trouverais, et que j'aimerais vous éviter tout déplacement inutile. »

Certains de ses plus proches amis, bien qu'ils soient rares, lui demandent de rester, elle répond non de la tête, l'incline, en essayant de rester digne malgré les perles salées qui roulent dessus. Elle étend ses ailes, prend une grand inspiration, et s'élance vers le ciel, quittant définitivement cette terre qu'elle a dit sienne pendant si longtemps. Un poids semble tomber de ses épaules, la libérer, tandis qu'un autre prend place en son cœur. Elle ne les reverraient peut-être jamais... Elle n'a qu'une trentaine d'année et la voilà qui s'éloigne vers des terres inconnues, devenant une voyageuse dont personne ne voudrait malgré la civilité. Elle avait en effet conscience que les dragons étaient loin d'être "gentil" au naturel, malgré les efforts des elfes pour le lui cacher.
Avant qu'elle n'ait le temps de partir, Eressëa est venu la voir, lui a parlé de la magie utilisée pour tenter de changer sa nature alors qu'elle était encore dans son oeuf, du hasard avec lequel ils avaient joué en la laissant en vie sur leur terres. Elle n'a pas réagit, peut-être n'en avait-elle tout simplement pas envie, n'y avait-elle vu aucune utilité.

Aujourd'hui, Lindorië erre dans le monde libre, se cachant aux yeux des hommes, des elfes ou même des autres races. Elle semble détachée, mais marque bien sa préférence, affirmant qu'elle combattra aux côtés du peuple libre s'il requiert son aide.

... ET CE QUE JE SUIS

Lindorië est un mastodonte... littéralement. Elle mesure bien une cinquantaine de mètre, ce qui la laisse plus petite que le très connu Smaug, mais n'enlève rien de sa grandeur. Ce qui participe le plus à sa grande taille, son son long cou, utile pour pêcher, bien moins pour se cacher dans des grottes. Sa tête est triangulaire, ce qui lui permet de pénétrer l'eau rapidement lorsqu'elle pêche, bien que cette activité ne soit pas très pratique pour la rassasier. Malgré son côté fin et taillé pour la vitesse, des muscles puissants roulent sous ses écailles, de quoi en dissuader plus d'un de l'approcher, et ce même avec son caractère passif.
La dragonne possède des écailles couleur saphir, luisant d'ailleurs comme cette pierre au soleil, ce qui la rend facilement repérable et la contraint à se déplacer de nuit ou en très haute altitude. Écailles recherchées pour leur dureté et leur éclats somptueux. Ses ailes sont semblables à celles des chauves-souris, bien qu'ornées en quelques endroits d'écailles longues et larges qui font penser à des plumes. Le dessous de sa tête est parcouru de petit barbillons, qui adoucissent un peu la rugosité de ses écailles.
Deux cornes viennent allonger sa tête, pointues car peu utilisées. Ce sont des armes qui peuvent se révéler redoutable lorsque Lindorië en fait bon usage, embrochant facilement tout ennemi un peu trop embêtant. Le bout de sa queue est orné d'écailles semblant plus molle et plus douces que sur le reste de son corps, et qui cachent une pointe d'un blanc nacré, redoutable pour quiconque s'y frotterait. Pour finir avec l'armement de la dragonne, le plus classique : elle possède des crocs courts, recourbés vers l'arrière, ce qui lui assure une bonne prise lorsqu'elle mord et contraint son adversaire à s'arracher les chairs s'il se débat trop. Ses griffes quant à elles sont légèrement arrondies à force de marcher mais restent des armes auxquelles il vaut mieux faire attention.
Pour finir, les yeux de la dragonne. Ils sont d'un éclat incomparable et sans conteste la partie la plus expressive de son corps, à défaut de voir ses émotions sur le reste de son visage. Il sont d'un bleu profond, légèrement plus clair que ses écailles et nettement moins terne (et ce n'est pas peu dire).

Vous voulez connaître mon caractère ? Très bien. Je ne suis pas du genre à garder ma langue dans ma... entre mes écailles ? Bref, lorsque je pense quelque chose, je le dis, quitte à me faire taper sur les doigts ensuite. En général, lorsque la situation est critique, je l'ouvre pour donner un avis qui me semble constructif et non pour des broutilles. Le reste du temps, lorsque je parle à quelqu'un, je dévoile le fond de ma pensé, même si elle n'est pas toujours très agréable. Je suis plus douée pour les jugements tactiques que pour juger des personnes et je me fais très vite une idée du personnage lorsque j'ai quelqu'un devant moi. Ce jugement change très facilement en fonction des actes de ce dit personnage.
J'ai tendance à réfléchir avant d'agir, je fais part de mes idées aux autres et ais tendance à préférer la parole plutôt que le combat. Malheureusement, dans ce monde, c'est la guerre qui domine et alors, la frénésie me prend. Lorsque je commence à trancher, je ne peux plus m'arrêter, c'est une soif horrible qui me prend et que je ne peux étancher qu'en tuant. Je sais cependant me retenir pour ne pas attaquer mes alliés et me concentre sur mes ennemis, me calmant le plus rapidement possible lorsque l'assaut est terminé.
Ceux qui sont proches de moi le sauront, je suis un peu gamine sur les bords, blague facilement. C'est un aspect de moi que je ne montre qu'à ceux en qui j'ai confiance et que je cacher derrière un masque de passivité. J'aime m'amuser, jouer, même si je n'ai souvent aucun partenaire avec moi. Je n'aime pas montrer cette facette de moi aux inconnus, qui pourraient me juger trop hâtivement, comme moi je le fais avec les autres, simplement parce que je ne voudrait pas qu'ils aient une mauvaise opinion de moi. Ce côté très tourné vers les autres fait que je souffre beaucoup du fait d'être seule et de ne pas pouvoir me montrer au grand jour.

DERRIÈRE L’ÉCRAN ...

ET SINON, C'EST QUOI TON P'TIT NOM ? Reine suprême des pots de glue... Mais pour toi ce sera Lindy :3
TON AGE ? On demande pas son âge à une dame !

TU AS CONNU LE FORUM GRÂCE ... Au partenariat avec TLK RPG

UN COMMENTAIRE ? Mon personnage préféré est.... Legolas **

TES PREMIÈRES IMPRESSIONS CONCERNANT LE FORUM ... C'est beau, même si c'est un peu sombre. Je sens que je vais me plaire ici ^^

CE QUE TU SAIS CONCERNANT L'UNIVERS DE TOLKIEN ... Je sais parler elfique ! /PAN/ J'ai appris des rudiments d'elfique avec une amie et je suis une fane de la série. Je suis aussi assez calée côté bestiaire.

En cas d'inactivité de ma part, j'accepte que mon personnage soit repris par quelqu'un d'autre (coche ta réponse) (ne concerne que les personnages inventés)
[ X ] OUI [ ] NON

Lindorië a écrit:

Je vais donc intégrer un paragraphe avec ces perso's et l'accident de l'oeuf... Voire même tout refaire

Navari a écrit:

Sinon on se fait un oeuf à la coque et fin de l'histoire?

Lindorië a écrit:

Navari a écrit:

Sinon on se fait un oeuf à la coque et fin de l'histoire?

Quant à toi, l'histoire de l'oeuf à la coque, c'est même pas en rêve ! na mais oh !