Ealwin - Something worth fighting for

Ealwin
« Nature is not a place to visit. It is home »

(feat. Katheryn Winnick)

Nomination Ealwin Race Elfe Sindar Sexe Femme Date de naissance 2413 du 3A (600 ans) Lieu de naissance Vertbois-le-Grand Famille Père- Hamil - soldat de Vertbois-le-Grand (Décédé lors de la bataille des cinq armées) Andaraniel - Guérisseuse au palais (Décédée suite à la mort d'Hamil) Daewen - Soeur exilée qui veut sa perte et celle de Vertbois-le-Grand Appartenance Vertbois-le-Grand Rang Guerrière de la Forêt Noire Alignement

Voici mon histoire ...

Let it hurt, let it bleed, let it take you right down to your knees
Avant Ealwin, il y eu Daewen, l'aînée de la famille, née en 2313 du troisième Âge à Vertbois-le-Grand. Ensuite naquit Ealwin en 2413 du troisième Âge. Leurs parents étaient Andaraniel, guérisseuse et Hamil, guerrier du Vertbois. La famille vécue heureuse pendant un siècle avant l'arrivée de la petite dernière. Ils étaient des parents aimants et respectés au palais du Roi. Hamil était plutôt sévère avec ses filles, mais il les aimait. Il n'était pas souvent présent. Il leur apprit à chacune d'elles comment se défendre en cas de danger, jugeant que tout Elfe devait savoir manier les armes. Quant à leur mère, elle leur apprit l'art de la guérison avec l'aide de la nature et de la magie Elfique. Les deux filles furent en particulier élevées par leur douce et sage mère.

Malheureusement, les parents accordaient un peu moins d'attention à Daewen, car Ealwin leur en demandait beaucoup plus. L'aînée en vint à la jalouser. Avec ses connaissances en herbologie, elle savait quelle plante utiliser pour l'empoisonner. Andaraniel nia la première tentative de meurtre, ne voulant pas croire que sa plus vielle veuille s'en prendre à un membre de la famille. Cette soirée-là, ils étaient installés autour de la table, dégustant un repas en famille. Avant qu'elle ne s'attable, Daewen avait versé une plante non comestible dans le breuvage de sa sœur. Heureusement, Andaraniel trouva un morceau de la plante et put guérir Ealwin.

Les bocaux se vidaient à vue d'œil. Mais qui était cette personne qui volait les stocks ? Ealwin n'était pas du genre à faire ce genre de chose. Le guérisseur personnel du roi s'y connaissait autant que leur mère, mais il n'oserait pas s'en prendre à son roi. Andaraniel non plus ne ferait pas une chose pareille. Il y avait nul autre que Daewen qui pouvait le faire.

Daewen retenta de faire le même coup, mais un garde en patrouille la surprit et l'emmena voir le roi. La famille de Daewen fut convoquée également. Ne pouvant le nier plus longtemps, Andaraniel avoua ce qu'elle savait. Ce soir-là, le roi, comprenant la douleur qu'elle pouvait ressentir, mais ne pouvant laisser un tel crime impuni, décida d'exiler la jeune elfe et l'interdit de revenir dans la Forêt Noire. Ealwin était choquée, fâchée et triste d'apprendre une telle chose et ne comprenait pas ce qu'elle avait pu faire pour que sa sœur arrive à vouloir sa perte. Daewen fut exilée, mais on disait qu'une personne infiltrée dans les halls opérait pour elle.

Depuis toujours, Ealwin voulait combattre aux côtés des guerriers du roi. Être mère au foyer ne l'enchantait pas. L'une des raisons était qu'elle avait soif d'aventure. Elle désirait aussi exprimer sa loyauté envers son peuple. Savoir qu'elle pouvait mourir lui était égal. Il n'y avait rien de plus beau que de risquer sa vie pour son peuple. Hamil savait cela. Il était conscient qu'il ne pourrait pas la faire changer d'avis. Leurs séances d'entrainement forgèrent un lien père-fille.

Hamil lui avait appris tout ce qu'il savait à propos de ce qu'un guerrier devait être. Par son entrainement rude avec lui, Ealwin développa une forte endurance aux exercices rigoureux. Elle apprit à ne pas craindre le danger ou tout du moins à ne pas laisser paraître ce qu'elle ressentait. Elle apprit également à ne pas accorder sa confiance à n'importe qui. Hamil lui rappelait sans cesse que les menaces auxquelles ils faisaient face se nourrissaient de la peur qui se trouvait en eux. Il transmit également à sa fille la force, le courage, la détermination et la loyauté. L'elfe appris le maniement des armes. Elle était douée avec les dagues, mais éprouvait de la difficulté en ce qui concernait le tir à l'arc. La précision de son tir laissait quelque peu à désirer.

Une force sombre avait pris possession du sud de la Forêt Noire. Âgée seulement de presque une cinquantaine d'année, Ealwin entendait son père lui parler de ces horribles araignées géantes à faire peur qui infestaient les bois. Qui voudrait se retrouver face à elles ? On racontait aussi que cette force noire était nul autre que Sauron, le Seigneur des ténèbres.

Andaraniel raconta alors à sa fille comment les hommes et les Elfes se sont alliés une dernière fois pour combattre cet être noir. Elle lui raconta aussi comment son corps matériel fut détruit après qu'Isildur lui eut tranché le doigt. Sa mère lui expliqua que le seul moyen d'empêcher Sauron de régner sur les peuples de la Terre du Milieu était de rendre l'Anneau Unique à la Montagne du Destin au Mordor là où il fut forgé. Cependant, nul ne savait où celui-ci se trouvait à présent.

Ealwin ne comprenait pas comment un être aussi noir puisse vouloir diriger tous les peuples. Bien que jeune, l'elfe comprit que Sauron était corrompu et que la seule chose que les peuples puissent faire étaient de lui résister et de faire en sorte qu'il ne retrouve jamais l'anneau. Elle avait bien l'intention de l'en empêcher, n'ayant aucune envie de se retrouvée soumise à une énergie aussi noire qu'un ciel d'encre la nuit.

Un jour, Ealwin, âgée de quelques centaines d'années, s'entraînaient seule avec ses dagues, car son père n'était pas présent pour lui apporter ses conseils très appréciés, car il était en mission pour le roi. L'Elfe était dans les bois cette journée-là. Andaraniel lui avait demandé de lui rapporter quelques herbes, car ses stocks avaient atteint le fond, mais Ealwin avait préférée s'entraîner au combat à la place. C'est alors que son ouïe sensible entendit un bruissement qui la mit sans perdre une seconde sur le qui-vive. Elle craignit l'espace d'un instant que ce soit un ennemi des Elfes. Ealwin se retourna vivement avec l'intention de se défendre et lança son arme dans la direction du bruit qu'elle avait entendu.

Lorsqu'elle leva les yeux pour voir où s'était planté son arme, un autre Elfe se présenta à elle. D'abord surprise, puis honteuse, elle lui fit ses excuses, ne voulant pas subir son courroux. L'homme lui assura bien vite qu'il ne lui tenait pas rigueur d'avoir lancé son arme dans sa direction. Ealwin se sentit soulagée de voir qu'il ne lui en voulait pas. Depuis ce jour, une amitié se forma entre les deux Elfes. Étant tous les deux soldats, ils s'entraidaient entre eux et la précision de son maniement s'est amélioré.

En 2941 alors qu'Ealwin était âgée de 528 ans, une guerre éclata entre cinq peuples : les siens, les Nains, les Hommes d'Erebor, les Gobelins et les Wargs. Son père ne voulait pas que sa fille vienne avec lui, mais celle-ci insista, lui disant qu'elle ne s'était pas entraînée pour rien. Voyant qu'il ne réussirait pas à la faire changer d'avis, le père et la fille se rendirent au Mont Solitaire avec les autres soldats du roi des elfes. Le combat fut rude. Jamais Ealwin ne s'était autant battue. À chaque seconde, elle avait craint pour sa vie et celles des siens. Elle avait peur, car ce n'était pas un combat amical entre son père et elle. Cette fois-ci, elle se trouvait réellement devant l'ennemi. Malgré tout, elle décida d'aller jusqu'au bout et de se battre, ne regrettant pas son choix de servir le roi.

Elle voyait des gens mourir devant ses yeux. Parmi ceux qui perdirent la vie, son père fut l'un d'eux. Une arme de l'ennemi s'était approchée dangereusement d'Ealwin. Ne voulant pas voir sa fille mourir, Hamil se mit devant elle et reçu le coup. Tout s'était déroulé bien trop rapidement. Le corps lourd et mou de son père tomba sur elle. Étant à découvert, elle repéra un endroit pour se réfugier et l'étendit au sol. Elle comprit qu'il l'avait fait parce qu'il n'avait pas voulu la voir mourir et parce qu'un soldat surveillait toujours les arrières de ses frères d'armes.

Hamil mourut dans les bras d'Ealwin après lui avoir dit de veiller sur sa mère. La bataille n'étant pas terminée, elle retourna se battre. Lorsque le combat fut terminé, l'Elfe prit donc le chemin de la Forêt et retrouva sa mère. Lorsque Andaraniel apprit pour la mort de son mari, elle changea complètement, n'éprouvant plus le désir de vivre. Malgré les soins et les mots de réconfort de sa fille, elle se laissa mourir. Ealwin savait que sa mère aimait son père, mais elle ne comprenait pas comment un Elfe puisse mourir en n'éprouvant plus le désir de vivre. Peut-être était-ce parce qu'elle n'avait jamais ressenti ce genre de chose auparavant pour le comprendre. La première expérience sur le champ de bataille d'Ealwin ne l'empêcha pas de vouloir servir le roi. Elle s'engagea donc pour prendre le poste de soldat que son père avait occupé de son vivant.

... et ce que je suis

A little kindness never hurt anyone
Apparence
Ealwin a les cheveux blonds pâles qu'elle a hérité de sa mère. Ils lui arrivent au milieu du dos. Elle a deux paires de tresses collées contre son crâne de chaque côtés de sa tête pour ne pas que ses cheveux lui obstruent la vue. Sur le haut de sa tête, ses cheveux ne sont pas plaqués contre son crâne. Ils sont coiffés en plusieurs tresses entremêlées. Elle possède aussi deux oreilles pointues qui lui sont très utiles, car son ouïe s'étend sur de longues distances. Elle a aussi des yeux bleus perçants et vifs. Étant une elfe, elle peut voir des choses que les humains ne voient pas. Ealwin mesure 1,68m et pèse 54kg. Comme tout elfe qui se respecte, elle se tient et se déplace toujours avec grâce. Elle possède aussi une excellente agilité qui lui permet de couvrir de longue distance, de se faufiler dans des endroits et de combattre l'ennemi. Ealwin est généralement vue vêtue en tenue de combat. Celle-ci consiste d'une tunique verte forêt, d'une cotte de maille argentée à manches longues et d'une cuirasse en cuir brun par-dessus. Une ceinture de même couleur avec un fourreau pour son épée est attachée autour de sa taille. Ealwin porte un pantalon brun ainsi que des bottes et des gantelets de même couleur autour de ses poignets.

Personnalité
Ealwin est une personne qui éprouve beaucoup de compassion envers les autres. Elle ne montre pas, ou très peu, ses émotions et ne parle pas pour rien dire. Une femme de très peu de mots, dirait-on. Étant une elfe, elle entretient un étroit lien avec la nature qu'elle respecte. Sage, elle fait preuve de bon jugement dans ses choix. Elle peut se montrer douce et prête à faire des sacrifices envers le peu de personnes qui lui tiennent à cœur. Forte et déterminée, elle cherche toujours à faire ce qu'elle croit être juste et n'hésitera pas à défendre ses idéaux. Méfiante, elle ne fait pas confiance facilement. Elle sait que les gens peuvent avoir différentes natures. Cela demande du temps et de la patience pour qu'elle accorde sa confiance à ceux qu'elle rencontre. Le sarcasme est l'humour favori d'Ealwin. Elle est du genre joueuse lorsqu'on la connait. La femme peut même avoir l'air quelques peu prétentieuse par moment, un trait de caractère commun chez les elfes. Curieuse, elle aime découvrir de nouvelles choses. Tenace et de confiance, elle ira jusqu'au bout de ses engagements. Ealwin est aussi quelqu'un de rancunière. Elle ne pardonne pas facilement. Il faut que la personne lui prouve qu'elle mérite son pardon. Elle a tendance à penser au moindre détail, ce qui fait d'elle une personne assez calculatrice. Face à un ennemi, si celui-ci lui a causé du tort, elle n'éprouvera aucune pitié envers lui.


Derrière l'écran
Pseudo Laueee
Je suis rôliste depuis Une bonne dizaine d'année
Ce que je sais concernant l'univers de Tolkien La base.

Comment as-tu connu le forum ? J'étais là avant sa réouverture. J'ai décidé de revenir, car j'adore le forum. Je joue également Dùnthain.
Un commentaire ? Il est toujours aussi beau.


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